les évènements du mois de janvier
Les événements du mois de janvier 2009
- Y’a le plafond de ma chambre qu’est descendu !
- Du coup, il a été obligé de changer de chambre…
- Il y avait de l’eau ?
- Oui, beaucoup d’eau, le plafond qu’a dégringolé…
- Ils étaient trois dans la chambre.
- Il ne nous est rien arrivés, on a eu du pot !
- On a perdu un ami…
- Monsieur Fourrier
- Il était toujours très présent, très gentil, j’ai eu beaucoup de peine.
- J’ai eu beaucoup de peine aussi.
- Ce décès nous a marqué énormément. Il était très ouvert…
- Bien sympathique, une personne assez calme.
- On regardait tous les soirs Les chiffres et les lettres ensemble. J’ai beaucoup pensé à lui hier, c était son enterrement.
- Ca fait partie des moments difficiles du mois de janvier.
- Lundi on est tombé en panne de crêpière…
- On est en panne de tout, on n’a même plus le téléphone. On est coupé de tout. Moi qui n’ai pas de famille sur place je suis complètement coupée du monde.
- Moi je suis moderne, j’ai un portable !
- C’est bien, on peut téléphoner partout où on est !
- Lundi 26, on a fait Les lundis aux Avelines.
- On a aidé à la cuisine, Monsieur R. a épluché les pommes de terre. On a fait des « runchs ». Ce sont des pommes de terre crues qu’il faut râper. On rajoute du persil, de l’ail, des échalotes, de la crème, du sel, du poivre. On râpe les pommes de terre à la dernière minute sinon elles noircissent. On mélange le tout. On fait une grosse crêpe, ça cuit d’un côté, on prend un couvercle et on la retourne de l’autre côté.
- Pendant la guerre on râpait les pommes de terre sur le gros feu et ça faisait un potage économique.
- Mon grand-père faisait, lui, un ragoût sans viande. Il prenait tout ce qu’il trouvait, des olives, des tomates, etc… et c’était aussi bon !
- Si je retourne aux Avelines, on fera des gnocchis aux pommes de terre, avec une bonne béchamel,
- Et du fromage,
- Avec du gruyère, et on met tout ça au four. J’en rêve de mes patates, je vous assure !
Ceux dans le commerce, c’est à la semoule, je n’aime pas… et à la tomate.
- Moi la tomate, j’adore.
- Mais elle a beaucoup d’acidité.
- On a fait aussi une tarte aux pommes, celle que je faisais dans mon appartement. Je fais partie de la commission des repas. La diététicienne est venue nous voir, on en a discuté. J’ai demandé à ce qu’il n’y ait plus de fruits vitaminés le soir sinon on compte les moutons ! Maintenant on nous donne des poires aux vins, moi je ne peux pas les manger. On peut manger la poire en compote, c’est mieux pour ceux qui n’aiment pas le vin.
- Et bien moi, j’en prends ! Mais j’aime aussi la poire autrement.
- Melle P. on l’appelle Madame Fruit et moi on m’appelle madame Légume !
- Le 1er janvier, on eu des chanteurs (Les petits bonheurs partagés)
PARLEZ-MOI D’AMOUR
Refrain
Parlez-moi d’amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n’est pas las de l’entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes :
« Je vous aime »
Vous savez bien
Que dans le fond je ne crois rien
Mais cependant je veux encore
Ecouter ce mot que j’adore
Votre vois aux sons caressants
Qui le murmure en frémissant
Me berce de sa belle histoire
Et malgré moi je veux y croire
Refrain
Il est si doux
Mon cher trésor, d’être un peu fou
La vie est parfois trop amère
Si l’on ne croit pas aux chimères
Le chagrin est vite apaisé
Et se console d’un baiser
Du cœur on guérit la blessure
Par un serment qui le rassure
Pour l’épiphanie, on a mangé la galette.
- Moi j’ai eu le cuisinier en fève, avec la boule de pain sous le bras. Madame L. a eu un cuisinier noir avec un ananas sous le bras !
- J’ai entendu dire que dans le Nord, un cuisinier avait mis une fève en or…
- Elle était très bonne cette galette !
Le 14 janvier, nous avons fait un jeu : « Si j’étais… »
« Si j’étais un livre,
je serais un dictionnaire à la portée de tous. »
« Si j’étais un produit de beauté,
je serais un rouge à lèvre. »
« Si j’étais un homme politique,
je serais René Cotti, le premier président de la République après De Gaulle. »
« Si j’étais un village,
je serais Pressy sous Dondin. »
« Si j’étais une fleur,
je serais une rose. Elle peut être de toutes les couleurs. »
« Si j’étais une blague,
je serais une connerie. »
« Si j’étais un vin,
je serais un Pouilly Fuissé. »
« Si j’étais une couleur,
je serais une couleur blanche. »
« Si j’étais quelque chose à boire ou à manger,
je serais du champagne. »
« Si j’étais une personne célèbre,
je ne serais surtout pas un homme politique, je serais Alain Delon. »
« Si j’étais un plat italien,
je serais le fromage italien. »
« Si j’étais une friandise,
je serais du chocolat au lait. »
« Si j’étais un train,
je ferais le trajet Mâcon-Paris. »
« Si j’étais un café de Cluny,
je serais le café de Paris. »
« Si j’étais un animal du cirque,
je serais un tigre. »
« Si j’étais un moyen de locomotion,
je serais la voiture. »
« Si j’étais une musique,
je serais Le Printemps de Vivaldi. »
Le 27 janvier, on a lu ensemble l’almanach du mois de janvier :
Le 21 janvier : sainte Agnès
En écosse et en Irlande, il existe une coutume selon laquelle les jeunes filles font, la veille du 21 janvier un dumb-cake (gâteau muet) composé de farine, eau, œufs et sel. Ce gâteau doit être fait et cuit dans un silence absolu. A manger avant de s’endormir pour rêver à celui qui sera votre futur mari.
Le 29 janvier, on a fait de la peinture.
Le 30 janvier, on a fêté les anniversaires.
-
Le gâteau s’appelait un Saint-Ange.
-
Moi j’ai eu une casquette en cadeau !
- Le 31 janvier, c’était le bal de la FNACA. Ils nous ont offert la brioche. C’était un goûter dansant. Ils ont bien joué, bien chanté, c’était bien joli. Ils ont dit à l’année prochaine…